Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

le monde moderne d'Hélène !

Visiteurs
Depuis la création 53 438
Derniers commentaires
2 janvier 2012

Moonlight Mile – Dennis Lehane

Moonlight Mile – Dennis Lehane

Moonlight Mile.jpgPardonnez ma grossièreté mais putain ! Presque dix ans que j’attendais le retour du duo de détectives Kenzie-Gennaro, précisément depuis que j’ai refermé Un dernier verre avant la guerre (top 3 des meilleurs polars I have ever read, et le plus réussi – selon moi – des aventures de ce duo de détectives privés qui opère dans les noirceurs du Boston d’aujourd’hui…). Certes, dans l’intervalle, je me suis délectée de Shutter Island ou Mystic River, absolument incroyables, mais auxquels manquait le sel de cette équipe de choc. C’est donc avec une impatience incontrôlable que j’ai attaqué Moonlight Mile. Comme quoi, il faut toujours se contrôler… Autant dire que la déception est sévère.

Alors oui, le tandem Kenzie-Gennaro est toujours là mais, embourgeoisé et désabusé après avoir enfanté, il est devenu lisse, prévisible et moralisateur. Déception numéro 1.

Si j’étais prête à pardonner à l’auteur la ferveur vieillissante de Pat et Angie, c’est parce que j’étais certaine de trouver dans leurs nouvelles aventures le génie de l’intrigue et le talent de conteur qui caractérisent Dennis Lehane. Mais, là aussi, si l’on retrouve bien le « style Lehane », il ne sert ici qu’une histoire inaboutie de disparition et peu crédible de mafia russe, dont l’épilogue confine au grotesque, de surcroît mâtiné de précipitation. Déception numéro 2.

L’addition de ces deux déceptions donne un livre que j’aurais préféré ne pas lire, afin que Dennis Lehane reste à mes yeux l’un des plus grands auteurs de polars de ces vingt dernières années. Avec le recul, peut-être que le fait que Moonlight Mile soit la suite de Gone baby gone, qui est loin d’être le meilleur opus des enquêtes de Patrick Kenzie et Angela Gennaro, aurait dû m’alerter…

Publicité
Publicité
2 janvier 2012

Parano express Josianne Balasko

Parano express

 




– D’où venait ce papier ?
– Quel papier ?
– Faites pas l’a s . Ce midi, l’enveloppe que vous m’avez donnée, avec le porte-clefs... Si on peut appeler ça donner, d’ailleurs.
– Vous vous attendiez à quoi ? A un billet de Loto gagnant ?
– Ce qu’il y avait marqué dessus, ça m’est arrivé !
– Je peux pas vous en dire plus, mon gars… Peut-être une mauvaise blague… C’est tombé sur vous… Une coïncidence…
J. B.

C’était pas écrit, sur le papier, qu’il serait suspecté de meurtres, Antoine Meyer... Jusqu’à présent, le désastre s’en était tenu au malheur ordinaire : rupture, chômage, accident bénin de la circulation. Mais là, on passe à la vitesse supérieure et ça tourne carrément à la tragédie. De quoi devenir parano ! L’odyssée d’Antoine Meyer, agent d’assurances au chômage, va durer trois semaines et changer radicalement sa vie.  




L'avis du libraire
Basculement d'une vie ordinaire dans le tragique. Ce qui se passe «quand ça tombe sur vous».
2 janvier 2012

L’Impératrice de la soie Tome 2 : Les Yeux de Bouddha - José Frèches

 
L’Impératrice de la soie Tome 2 : Les Yeux de Bouddha  

 

   
 
  • • Roman français  
  • • Parution : 6 janvier 2004  
  • • 416 pages  
  • • Format : 153 x 240 mm  
  • • Prix : 20,90 euros  
  • • ISBN : 9782845631687  
 
  • Présentation  
  •  
  • Sur la fabuleuse Route de la Soie, l’aventure de la rencontre entre l’Orient et l’Occident…  D’oasis en oasis, de monas­tère en monas­tère, la Route de la Soie est deve­nue le théâ­tre d’une gigan­tes­que course-pour­suite. Une guerre de reli­gion est décla­rée, dont l’arme secrète est la soie. Avec leurs com­plots et leurs rêves de pou­voir, les puis­sants chefs d’églises ont déré­glé l’équilibre des forces : tous, désor­mais, boud­dhis­tes et repré­sen­tants des reli­gions occi­den­ta­les, se sont lancés dans des acti­vi­tés clan­des­ti­nes. Sur les mar­chés de la capi­tale chi­noise, la soie frau­du­leuse abonde, au grand dam de la police d’État. L’Impératrice veille en per­sonne sur l’enquête… tout en entre­te­nant des rap­ports trou­bles avec les tra­fi­quants.
  • Dans une des oasis, le moine boud­dhiste Cinq Défenses ren­contre une jeune chré­tienne. C’est le coup de foudre. Submergés par la pas­sion, ils déci­dent de fuir ensem­ble par la Route de la Soie, avec les Jumeaux Célestes, ces bébés mys­té­rieux dont Cinq Défenses a la charge.
    Quand ils par­vien­nent à Chang An, la capi­tale chi­noise, ils ten­tent de gagner quel­ques taels en ven­dant des remè­des sur les mar­chés, où les Jumeaux Célestes sont très remar­qués. L’Impératrice Wuzhao en per­sonne demande à les voir. Touchée par leur curieux équipage, elle leur promet son aide et les cache au palais. Mais bien­tôt, à cause d’une mal­veillance ils devront se jeter de nou­veau sur les routes, en confiant les Jumeaux à l’impé­ra­trice. Grâce à la petite fille mi-humaine mi-singe, sym­bole d’une réin­car­na­tion étonnante, les enfants devien­nent un atout majeur entre les mains de l’ambi­tieuse jeune femme qui, lors­que ses folies érotiques et les affai­res de l’État lui en lais­sent le temps, s’occupe d’eux avec beau­coup d’affec­tion. Mais le chemin vers le pou­voir sera long et périlleux, d’autant que, à l’autre bout de la Route, se met en marche le puis­sant tan­triste Nuage Fou, au cer­veau dévasté par l’opium mais à la capa­cité de nui­sance intacte. Les coups montés, les rumeurs et les enlè­ve­ments, les rebon­dis­se­ments abon­dent dans le deuxième tome de cette tri­lo­gie d’une ampleur sans pré­cé­dent. José Frèches entraîne le lec­teur depuis l’Inde du Nord jusqu’à la Chine, en pas­sant par le Tibet, le long de la Route de la Soie, cette fabu­leuse voie d’échanges com­mer­ciaux, cultu­rels et reli­gieux.
    Roman des reli­gions, roman des échanges et de la fas­ci­nante décou­verte de l’autre, roman du pou­voir et de l’appât du gain, mais sur­tout roman d’amour et d’aven­tu­res… L’Impératrice de la Soie est aussi, d’une cer­taine façon, le roman de la nais­sance d’un monde sans fron­tiè­res.

 

2 janvier 2012

Encore une danse - Katherine Pancol

Encore une danse - Katherine Pancol



J’ai découvert (et apprécié) Katherine Pancol à travers ses trois derniers romans (Les Yeux jaunes des crocodiles, La Valse lente des tortues et Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi). J’étais très tentée de lire un ouvrage antérieur mais en discutant avec mon libraire, celui-ci a laissé entendre que la trilogie que j’avais lue était si différente du « style » Pancol habituel, qu’un autre livre du même auteur pourrait me décevoir. J’ai suivi son conseil et évité Pancol… Jusqu’à ce que je lise la quatrième de couverture d’Encore une danse.
« Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha ont grandi ensemble, habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se sont jamais quittés ». Cette simple phrase a suffit pour que je m’identifie aux personnages. Comme eux, j’ai la chance d’avoir un groupe d’amis que je connais depuis toujours et surtout, que je fréquente encore aujourd’hui. Malgré les nouvelles amitiés que j’ai nouées au fil du temps, rien ne remplace les fous rires et la complicité que j’entretiens avec ces amis « originels », témoins de mon adolescence, complices de mes premières fois, gardiens de ces secrets impossibles à révéler.
La comparaison s’arrête là, puisque les protagonistes d’Encore une danse se retrouvent confrontés à une épreuve particulièrement dure, qui parvient à ébranler une fraternité que l’on croyait sincère et indestructible. Dès lors que ce danger menace l’unité du groupe, chacun engage une introspection qui fait apparaître à quel point leur personnalité s’est effacée (ou pas) au nom de l’amitié.
Au final, j'ai une fois encore adoré cette chronique d'une amitié à la fois sulfureuse et sincère. Comme quoi, le style Pancol me plaît. En particulier sa manière de raconter des destins ordinaires.
J'en profite pour vous signaler qu'à partir de lundi, nous proposerons un concours qui permettra de remporter des cadeaux en rapport avec Katherine Pancol... Ne manquez pas le rendez-vous!

 

1 janvier 2012

L’Ombre du vent – Carlos Luis Zafon

L’Ombre du vent – Carlos Luis Zafon

ombreduvent.jpgC'est toujours risqué de lire un livre qui a connu un grand succès public, surtout sept ans après sa parution, surtout après avoir entendu une foule de critiques élogieuses. Celles et ceux qui n'ont vu Amélie Poulain que dix-huit mois après sa sortie en salles me comprendront certainement... Mais parfois, on ne peut qu'adhérer à l'engouement, quand bien même on aurait souhaité avoir un avis contraire, rien que pour se démarquer un peu.

Selon moi, certaines fois, ce qui distingue un bon livre d'un livre plus ordinaire, c'est la puissance de l'intrigue, sa faculté à tenir en haleine. D'autres fois, c'est la capacité de l'auteur à plonger le lecteur dans une atmosphère prenante, connue ou inconnue, à le transporter dans d'autres époques et d'autres lieux. Et puis il y a ce qui, à mon avis, distingue un très bon livre de tous les autres : la réunion de ces deux éléments qui, s'imbriquant miraculeusement, ne se phagocytent pas l'un l'autre, ne se font aucun tort réciproque. Et c'est précisément le cas de L'Ombre du vent, qui restera certainement longtemps dans mon esprit, et pour toujours dans mes annales personnelles.

Et comme il est primordial dans certains cas de ne pas déflorer l'intrigue (celles et ceux à qui on a raconté la fin de Shutter Island avant qu'ils n'aient terminé le livre me comprendront à nouveau), je me contenterai d'indiquer ici que l'histoire se déroule principalement dans l'Espagne franquiste, dans une Barcelone poétique et énigmatique, où compromission et reconstruction sont au coude à coude. C'est ici que le lecteur fait connaissance avec le jeune Daniel, orphelin de mère et solitaire, qui fait lui-même connaissance avec la vie, dans ses aspects les plus fascinants, les plus excitants mais aussi les plus noirs.

L'Ombre du vent est, tout à la fois, un roman initiatique percutant, une dénonciation politique virulente, une intrigue policière maîtrisée et une histoire d'amour passionnée.

Publicité
Publicité
1 janvier 2012

Stieg Larsson - Les hommes qui n'aimaient pas les femmes (Millénium 1)

 

 
Stieg Larsson - Les hommes qui n'aimaient pas les femmes (Millénium 1)
Audiolib | 64 Kbps (VBR) | mp3 | 496,4 mb
Reader: Emmanuel Dekoninck | Duration: 17 hours 45 min | French


Ancien rédacteur de Millénium, revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Blomkvist est contacté par Henrik Vanger pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans : la disparition de sa petite nièce.
Secondé par Lisbeth Salander, jeune femme rebelle et perturbée, placée sous contrôle social mais fouineuse hors pair, le journaliste tenace va résoudre l'affaire des fleurs séchées et découvrir ce qu'il faudrait peut-être taire. 


Liens de téléchargement :
 
http://www.filesonic.com/file/2691106114/les-hommes-qui-naimaient-pas-les-femmes.rar

1 janvier 2012

L’Impératrice de la soie Tome 3 : L’Usurpatrice - José Frèches

L’Impératrice de la soie Tome 3 : L’Usurpatrice  
 
  
 
• Roman français  
• Parution : 11 mars 2004  
• 400 pages  
• Format : 153 x 240 mm  
 Prix : 20,90 euros  
   



  • Présentation  
    Sur la fabuleuse Route de la Soie, le dénouement d’une aventure unique.  
    Adorés par des mil­liers de pèle­rins comme la réin­car­na­tion d’un couple mythi­que, les petits Jumeaux Célestes rame­nés en Chine par la Route de la Soie sont désor­mais choyés par l’impé­ra­trice, leur « tante Wu », qui s’occupe d’eux dès que les affai­res de l’Etat et ses folies érotiques lui lais­sent un moment.Nombre d’aven­tu­res guet­tent encore nos héros dans ce tome qui clôt une tri­lo­gie d’une ampleur étourdissante : parce qu’elle refuse d’avouer où sont les ines­ti­ma­bles « Yeux de Bouddha », la jeune chré­tienne Umara est séques­trée par le chef du boud­dhisme chi­nois ; la jolie Chinoise Lune de Jade, elle, a été kid­nap­pée, puis vendue comme concu­bine à un sultan.Le jour où, par la magie de la Route de la Soie, tous les che­mins se seront rejoints autour de Wuzhao à la cour de Chine, ce jour-là l’impé­ra­trice obtien­dra son triom­phe et tous les héros se libé­re­ront de leurs entra­ves pour vivre enfin au grand jour leur amour ou leur foi…

 

1 janvier 2012

Encore une danse de Katherine Pancol



Encore une danse de Katherine Pancol



Le Livre de Poche
285 pages


Résumé :

Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha ont grandi ensemble à Montrouge. Ils ont habité le même immeuble et sont allés dans les mêmes écoles. Depuis, leurs vies ont pris des tournants différents mais leur amitié a résisté au temps, à la réussite des uns, aux échecs des autres. Ils pratiquent toujours leurs rites d'amitié, même si leur "musique", parfois, émet quelques fausses notes.
Mais une nouvelle épreuve, plus sournoise, plus terrible, s'annonce, et le groupe menace de .......... en éclats...


Mon avis :

Deuxième volet découverte "Encore une danse"....

Une jolie découverte...On entre le roman comme dans une valse,ça tourbillonne, ça pétille,c'est léger....Derrière ce rythme à trois temps on découvre des personnages sensibles , fragiles, attachants...
 
 
 
29 décembre 2011

Céline Durand avec clin

24 décembre 2011

son cadeau de noel

 

il m'écrit ceci le 24 décembre 2011 ... super comme joyeux noel mais venant de sa part c'est normal !!!:

"car j ai jamais voulu te frapper connasse

je vais utilisé le self defence comme si je frappais un mec 
ta interet a courir et te cassé avec ton mec car je vous shote tous les deux
tu ne ma jamais vu me battre je casse des manche de brosse avec mon tibia je vais te mettre un coup de tibia dans le femur je vais te le peter
tu es une salle pute j aurai du cogné sur toi comme si je cognais un mec
mais ce jour la j ai ete zen je savais que les flic viendrai et tu as ete condamné par le procureur que tu as frappé seulement moi j ai pas riposté t avais pas de coup
prend ta brosse et cette fois je te casse la gueule avec
maintenant ne m ecrit plus OUBLIE MOI
je dort pas chez moi ce soir dans 5 minute je me casse et tu va ecrire au mur
tu flippe tellement que tu n ose pas ramener tagueule devant moi
car tu sais tres bien que si je voulais avec la force et la self defence tu savais que je pouvais te tuer

N OUBLIE JAMAIS CE QUE MA MERE A DIT SI TU LE POUSSE A BOUT UN JOUR IL VA TE TUER
ELLE A TOUJOURS EU RAISON SUR TOUS CE QUELLE MA DIT ET TOUS S EST PASSER COMME ELLE ME LA DIT AVEC TOI
IL SE POURRAI QUE UN JOUR JE TE TUE VU LE HARCELEMENT QUE TU ME FAIS 
ET TU COMMENCE A ME METTRE A BOUT GROSSE PUTE
FAIS GAFFE A TOI 
ARRETE DE ME PROVOQUER OU TU VA FINIR SUR RTL TVI
LE JOUR OU JE ME RETROUVE CELIBA DE NOUVEAU JE VAIS VENIR TE TROUVER CAR J AI TON ADRESSE DEPUIS CE MIDI"
Publicité
Publicité
le monde moderne d'Hélène !
Publicité
Archives
Publicité