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le monde moderne d'Hélène !
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31 mars 2012

Guillaume Musso son nouveau roman : 7 ans après

 

7 ans après...

Un divorce les avait séparés…
… le danger va les réunir

Artiste bohème au tempérament de feu, Nikki fait irruption dans la vie sage et bien rangée de Sebastian. Tout les oppose, mais ils s’aiment passionnément. Bientôt, ils se marient et donnent naissance à des jumeaux : Camille et Jeremy.
Pourtant, le mariage tourne court : reproches, tromperies, mépris ; la haine remplace peu à peu l’amour. Au terme d’un divorce orageux, chacun obtient la garde d’un des enfants : Sebastian éduque sa fille avec une grande rigueur alors que Nikki pardonne facilement à son fils ses écarts de conduite.
Les années passent. Chacun a refait sa vie, très loin de l’autre. Jusqu’au jour où Jeremy disparaît mystérieusement. Fugue ? Kidnapping ? Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans. Contraints d’unir leurs forces, Nikki et Sebastian s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais.


Des rues de Paris au coeur de la jungle amazonienne

Un thriller implacable brillamment construit

Un couple inoubliable pris dans un engrenage infernal

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30 mars 2012

Le palace des Délices

 

 

 

29 mars 2012

Le palace des Délices

 

 

 

28 mars 2012

Le palace des Délices

 

 

 

27 mars 2012

Le palace des Délices

 

 

 

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24 mars 2012

Guillaume Musso et l'écriture

Comment êtes-vous venu à l'écriture ?

Mon coup de foudre pour les romans remonte à mes dix ans. Bien que ma mère soit bibliothécaire, les livres m’avaient toujours ennuyé jusque-là. Pour tout dire, je n’aimais que les BD ! Et puis, tout à coup, j’ai lu une histoire qui m’a enthousiasmé : Les Hauts de Hurlevent d’Emily Brontë. A partir de là, j’ai passé beaucoup de mes étés à lire dans un coin de la bibliothèque au lieu d’aller à la plage ! A cet âge, on n’a peur de rien et on n’hésite pas à se lancer dans des marathons de lecture. Je me souviens ainsi d’avoir enchaîné Guerre et Paix, L’Education sentimentale, L’Etranger

Puis la lecture a fait naître un désir d’écriture. Le déclencheur a été un concours de nouvelles organisé par un professeur de français en classe de seconde. J’avais écrit une histoire romantique imprégnée de surnaturel qui lorgnait à la fois vers Stephen King et vers Le Grand Meaulnes. Et c’est moi qui ai gagné… La surprise de voir que mes histoires pouvaient intéresser les autres m’a encouragé à continuer à écrire.

Anaïs Nin a dit quelque part : « Je crois que l'on écrit pour créer un monde dans lequel on puisse vivre. » Pour moi, c'est exactement ça. L'écriture est un prolongement de la lecture, laquelle représente un moyen privilégié de m'évader de la réalité, du quotidien, du côté parfois insupportable de la vie. Pourquoi les êtres humains ont-ils besoin qu'on leur raconte des histoires ? Sans doute parce que « la réalité est mal faite » comme l'écrivait Vargas Llosa, car « elle n'est pas suffisante pour satisfaire les désirs, les appétits, les rêves humains ».

Les idées viennent de partout : de mon propre vécu, de l'actualité, des livres... J'aime aussi beaucoup observer les gens, au restaurant, dans les cafés, le métro, les magasins... C'est ce que j'appelle mon « goût des autres ». Ça permet de capter l'air du temps, de saisir des situations, des dialogues, des émotions… Dès que quelque chose me marque, je le note dans mon ordinateur ou sur mon carnet et au bout d'un moment, à force de confronter des idées les unes aux autres, certaines vont se relier entre elles et une trame finit par se dégager.

A la base, j'ai une motivation, un dogme : écrire des livres que j'apprécierais en tant que lecteur. Je n'essaye surtout pas d'appliquer une recette ! ça ne marche pas et ça dénature le plaisir d'écrire. J'essaie plutôt de raconter une histoire « sincère », c'est-à-dire une histoire qui s'accorde avec mes sentiments du moment.

Souvent, je sais que je tiens un sujet lorsqu'une image obsédante revient à la charge dans mon esprit. Puis, à partir de cet instantané, tout se met en place progressivement avec beaucoup de travail. Je n'attends jamais que l'inspiration me vienne pour commencer à travailler, mais c'est parce que je travaille que vient l'inspiration.

Généralement, je passe plusieurs mois à peaufiner la structure du livre, son « squelette ». J'ai besoin de savoir où je vais, même si je ne sais pas toujours quel chemin je vais emprunter pour y arriver. Je peux passer jusqu'à six mois à mettre en place cette ossature qui doit fonctionner comme un mécanisme d'horlogerie. Je travaille sur l'enchaînement des chapitres, la divulgation progressive des indices, les retournements de situation. Je cherche à être inventif, à mettre en place un découpage quasi cinématographique de mon histoire. Parallèlement, je travaille beaucoup sur les personnages en faisant des fiches biographiques très détaillées. Même si les trois quarts de ces renseignements ne se retrouveront pas dans le livre, j'ai besoin de connaître parfaitement mes personnages pour rentrer en empathie avec eux et pour qu'au cours du processus d'écriture se produise cette alchimie mystérieuse qui va faire naître l'émotion.

Bien sûr ! Pour l'écrivain, c'est même le moment le plus excitant : lorsque les personnages tentent de vous échapper et de vous imposer des choses ! De là naissent des retournements de situation que l'on n'avait pas imaginés au départ.

On ne le peut plus… ou alors sur des sites d'enchères en ligne à des tarifs que je vous déconseille formellement ! Ce premier roman, j'y tiens beaucoup. Comme beaucoup d'auteurs débutants, je l'avais envoyé par la poste et il a été accepté par les éditions Anne Carrière. Nous étions en 2000, et l'intrigue racontait l'histoire de quatre personnages recevant chacun un morceau de La Joconde assorti d'un mystérieux rendez-vous dans une chapelle italienne. La Joconde, ça vous rappelle le Da Vinci Code, mais c'était quatre ans avant, et plutôt dans l'esprit de Arturo Perez-Reverte que de Dan Brown ! A l'époque, la presse avait été assez élogieuse à son sujet et je sais que vous êtes nombreux à vouloir le lire aujourd'hui : ma boîte aux lettres déborde de vos demandes et c'est souvent la première question que vous me posez lors des séances de dédicaces ! J'ai donc demandé à mon éditeur actuel de reprendre les droits de Skidamarink pour – éventuellement – le réécrire à la lumière de mon expérience d'aujourd'hui. Faire de ce premier livre le roman que je pressentais, mais qui est resté un peu à l'état de chrysalide…

En fait, je ne me pose pas la question comme cela. Tout ce que je sais, c'est que je travaille d'arrache-pied pour m'en montrer digne. Je me fais donc un devoir d'invention permanente. J'aime que l'histoire raconte quelque chose d'original. J'aime être happé par une histoire au point de ne plus pouvoir poser le livre que je suis en train de lire. J'aime que chaque page en appelle une autre et que chaque fin de chapitre donne envie de lire le suivant. Je veux que l'on vibre avec les personnages, que l'on rie, que l'on pleure, et que, lorsqu'on referme le livre on se sente plus heureux qu'on ne l'était auparavant…

Il n'y a rien de pire qu'un livre où l'on s'ennuie. En choisissant notre livre parmi beaucoup d'autres, le lecteur nous accorde sa confiance et le moins que l'on puisse faire est de ne pas le décevoir.

C'est pour cette raison que l'écriture est génératrice d'angoisses. Quand je suis en train d'écrire, je me réveille la nuit, je passe des nuits blanches, je me pose beaucoup de questions…

Le moment où l'écriture devient un plaisir, c'est à la fin, quand le livre est là et que les lecteurs viennent me dire qu'ils se sont reconnus dedans. Comme cette dame qui m'a envoyé un message pour me dire qu'elle a emmené le livre à son travail pour le lire pendant sa pause, ou cette lycéenne qui m'a avoué qu'elle ne lisait jamais mais que mon livre, elle l'avait fini en cachette en classe.

J'aime des livres plus que des auteurs. Parmi les classiques : Belle du Seigneur d'Albert Cohen, L'insoutenable légèreté de l'être de Kundera, Le hussard sur le toit, de Jean Giono.
En poésie, Aragon et Apollinaire.
Chez les romanciers contemporains : Human Stain de Philip Roth et Bag of Bones de Stephen King dont j'admire la capacité à faire surgir l'angoisse dans le quotidien.
Chez les auteurs français, je suis un vrai fan de Jean-Christophe Grangé pour la fièvre qui imprègne toutes ses pages, de Tonino Benacquista pour l'humanité de ses personnages et d'Anna Gavalda pour sa sensibilité.

Le cinéma étant l'une de mes grandes sources d'inspiration, c'est presque naturellement que la construction de mes livres ressemble à celle de certains films.

Je fais partie de la génération magnétoscope : celle qui a découvert les films non pas dans les ciné-clubs mais directement sur le petit écran avec la possibilité de passer et repasser la même scène, autrement dit, la possibilité de « déconstruire » le film et d'en assimiler plus facilement les fondations et les techniques. Je suis certain que cela a eu une influence sur ma façon d'écrire, avec un côté visuel, une structure très découpée et une tension qui court tout au long de l'histoire.

Autre source d'inspiration majeure depuis une dizaine d'années, les séries télévisées anglo-saxonnes de qualité : Six Feet Under, LOST, The Sopranos, MI5, 24, The West Wing… C'est là que se trouvent aujourd'hui les narrations les plus innovantes, les sujets les moins formatés et les auteurs les plus inspirés.

Il n'y a pas de fascination particulière de ma part pour le modèle américain. J'habite en France et c'est un pays que j'aime, mais il est vrai que beaucoup de mes histoires se passent à New York. Le lieu d'un roman est important car, en posant le décor, il contribue à la crédibilité de l'histoire. Bien sûr, mes histoires pourraient se passer n'importe où : à Paris, Londres, Tokyo…Mais jusqu'à présent, lorsque les premières images apparaissaient dans mon esprit, elles avaient souvent pour cadre New York, car il s'agit d'un lieu où on a l'impression que tout peut arriver : la plus belle des histoires d'amour comme le drame le plus atroce.

C'est une ville que je connais bien pour y avoir travaillé pendant plusieurs mois lorsque j'avais 19 ans. J'étais parti un peu à l'aventure et, une fois sur place, j'avais dégotté un job de vendeur de crèmes glacées à 70 ou 80 heures par semaine ! Malgré ces conditions de travail difficiles, je suis vraiment tombé amoureux de Manhattan et, chaque fois que j'y retourne, j'éprouve la même fascination.

D'autre part, après les attentats, New York est devenue une ville résiliente. Un état qui fait souvent écho à ce que vivent mes personnages.

Pour autant, je ne m'interdis absolument pas d'écrire sur la France et il est même certain que l'un de mes prochains romans aura pour cadre Paris.

Il y a parfois un malentendu à propos de mes romans. Le surnaturel, le mystère, le thriller, ne sont que des prétextes pour aborder, sous des abords ludiques et légers, des thèmes plus profonds. Et après… traite du deuil et de la fragilité de l'existence ; Sauve-moi évoque le rôle du hasard et du destin, Seras-tu là ? parle de la vieillesse, des remords et des regrets. Parce que je t'aime aborde le thème de la résilience, cette capacité psychologique à résister à l'adversité, à surmonter les épreuves pour en ressortir parfois plus solide. Je reviens te chercher évoque l'idée de la deuxième chance et ouvre une réflexion sur la responsabilité de nos choix, les aléas du destin et l'opportunité d'en modifier la trajectoire.

Le surnaturel est donc un ressort dramatique qu'il m'arrive parfois d'utiliser comme parabole pour évoquer ce qui me passionne vraiment : les sentiments, le sens que l'on donne à sa vie, l'absence, la peur.

L'idée m'est venue après un accident de voiture qui m'a beaucoup marqué, l'année de mes 24 ans. Par chance, je n'ai pas été gravement blessé mais mon véhicule a été détruit. Moi qui n'avais jamais auparavant vraiment songé à la mort, j'ai pris conscience en une demi-seconde qu'elle pouvait nous happer sans prévenir. J'ai donc voulu écrire une histoire sur cette expérience et sur cette urgence de vivre que la rencontre avec la mort pouvait provoquer, mais je ne savais pas comment procéder. Je craignais que le sujet ne soit un peu trop morbide. Si la plupart des gens n'ont aucune envie de lire un livre sur la mort, ils sont en revanche friands de mystère, de féerie et de surnaturel. Je me suis alors souvenu de tous ces films américains des années 40 qui sous des abords ludiques abordent en fait des questions cruciales : It's a Wonderful Life de Frank Capra, La Féline de Jacques Tourneur, The Ghost and Mrs. Muir de Joseph Mankiewicz. Plus récemment, Wim Wenders avec Les Ailes du désir et M.Night Shyamalan avec Le Sixième Sens ont également emprunté ce détour par le surnaturel pour parler du deuil et de la condition humaine.

L'amour, c'est la matière première de tous mes livres et, à vrai dire, je n'imagine pas écrire un roman qui ne comporte pas une histoire d'amour ! Dans la vie, l'amour c'est quand même ce qu'il y a de plus intéressant, non ? Car c'est l'amour ou le manque d'amour qui guident une bonne partie des comportements humains. Pour reprendre la formule de Christian Bobin : « C'est toujours de l'amour dont nous souffrons, même quand nous croyons ne souffrir de rien. »

Pour moi, rien n'est plus gratifiant que de voir des gens lire mes romans dans le métro ou dans le bus. La littérature populaire – celle d'Agatha Christie, de Barjavel et de Stephen King… – est celle qui, enfant, m'a donné le goût de la lecture. C'est celle des raconteurs d'histoires et du plaisir de lire. Je n'ai donc aucun complexe à être un auteur « populaire », et j'en tire plutôt une grande fierté…

Chaque fois que je rencontre le public lors des séances de dédicaces, je suis surpris par sa diversité : des lecteurs de tous les âges et de tous les sexes, mais plus particulièrement un lectorat de jeunes adultes et d'adolescents. C'est peut-être ce qui m'a le plus étonné : parvenir à toucher une génération réputée préférer les jeux vidéos et les BD à la lecture.

Parce que je dois tout à mes lecteurs : depuis cinq ans, ils m'ont suivi à travers mes romans et mes personnages. Ils se sont approprié mes histoires et y ont trouvé des échos dans leur vie. Ils m'écrivent, viennent nombreux à mes séances de dédicaces, je leur dois mon succès. Une telle « histoire d'amour » valait bien quelques remerciements sincères à la fin d'un livre. C'est le moins que je pouvais faire…

Attention, ce n'est pas du tout un système d'écriture ! Mais il se trouve que jusqu'à présent mes histoires se sont toujours terminées sur un crescendo dramatique. Les Américains parlent de « twist ending » pour qualifier ces films ou ces romans qui parviennent à créer une vraie surprise dans leur dénouement. En tant que lecteur et spectateur, j'ai toujours aimé les retournements de situation qui, à la fin d'une histoire, lui donnent une tout autre signification. Je me souviens encore, par exemple, de la surprise ressentie lorsque, enfant, j'arrivais à la fin de certains Agatha Christie (Les dix petits nègres, Le meurtre de Roger Ackroyd) ou en découvrant des films comme Psychose (la mère empaillée dans son fauteuil, c'était quand même sacrément bien trouvé à l'époque…), Citizen Kane (le fameux Rosebud du dernier plan) ou Les diaboliques. Clouzot avait d'ailleurs fait mentionner sur l'affiche du film : « ne soyez pas diaboliques : ne révélez pas la fin du film à vos amis ! »

Plus récemment le réalisateur Night Shyamalan s'est fait une spécialité de ce type de retournement (Le Sixième sens, Incassable) ainsi que David Fincher (Fight Club, The Game) Pour les amateurs du genre, je conseille également Shutter Island, le roman très réussi de Dennis Lehane.

J'essaie de travailler de partout : bureau, TGV, avion. J'ai d'ailleurs remarqué que beaucoup de mes idées me venaient dans les aéroports ou à l'étranger. Mais c'est vrai que le gros du travail d'écriture – celui qui fait mal – s'effectue souvent entre 22h et 3h du matin, lorsque la vie s'arrête autour de vous.

J'écris mes chapitres les uns après les autres, sur ordinateur – toujours sur un Mac et avec un traitement de texte configuré d'une façon très précise – puis de longues corrections sur papier puis à nouveau sur ordinateur et ainsi de suite. Il y a autant d'aller-retour que nécessaire. Parfois, lorsque rien ne vient, j'achète un cahier d'écolier comme au bon vieux temps pour provoquer une déstabilisation, un électrochoc.

C'est un risque en effet. On a tous en tête des exemples de livres que l'on a apprécié et qui ont débouché sur de gros navets, comme par exemple… non, ne citons pas de titres, il y en a trop !

Pour l'instant, disons que j'attends avec impatience de voir sur quoi déboucheront toutes ces adaptations. C'est une chance inouïe d'avoir un film tiré d'un de ses livres. Que les producteurs se bousculent pour adapter vos œuvres est bien la preuve de la solidité de votre histoire et de la force de vos personnages. Et après… s'annonce très prometteur au vu des premières images.

En tout cas, je suis très souvent sollicité pour le faire, même si jusqu'à présent, j'ai toujours refusé. Comme le dit Jean-Christophe Grangé : « Quand on écrit, on peut faire tout ce qu'on veut alors qu'au cinéma, il n'y a que des contraintes ». De plus, en France – contrairement aux Etats-Unis – le statut de scénariste est dévalorisé au profit de « l'auteur réalisateur ». La part consacrée à l'écriture ne représente que 2% du budget d'un film alors que c'est quatre fois plus outre-Atlantique. D'où le nombre important de films français aux scénarios bâclés et nombrilistes.

Néanmoins, il n'est pas exclu que je franchisse un jour le pas. A condition d'être convaincu que le traitement de l'histoire serait davantage adapté à l'écran qu'à l'écrit. Et à condition de trouver des gens compétents et ambitieux avec qui travailler.
24 mars 2012

Guillaume Musso sa biographie

  Né en 1974 à Antibes, Guillaume Musso rencontre la littérature à dix ans, passant une bonne partie de ses vacances dans les murs de la bibliothèque municipale dirigée par sa mère.

Il commence à écrire lorsqu'il est étudiant. A 19 ans, fasciné par les Etats-Unis, il séjourne plusieurs mois à New York et dans le New Jersey. Il y travaille comme vendeur de crèmes glacées et cohabite avec des travailleurs de toutes nationalités. Il dit avoir beaucoup appris de cette période. En tout cas, il rentre en France avec des idées de romans plein la tête.

Il passe une licence de sciences économiques et réussit le Capes de sciences-éco, pour exercer avec conviction le métier de professeur.
Après un accident de voiture, il débute l'écriture d'une histoire ayant pour point de départ une Expérience de Mort Imminente vécue par un enfant. Et Après... sort en librairie en janvier 2004. Porté par une atmosphère unique et une écriture moderne, le roman séduit les lecteurs dès sa parution. Grâce au bouche à oreille, il sera vendu à plus de deux millions d'exemplaires et traduit dans une vingtaine de langues.

Cette incroyable rencontre avec les lecteurs se poursuit par l'immense succès de tous ses titres : Sauve-moi, Seras-tu là ?, Parce que je t'aime, Je reviens te chercher, Que serais-je sans toi ?, La Fille de Papier et L'Appel de l'ange...

Mêlant intensité, suspense et amour, ses romans ont fait de lui un des auteurs français favoris du grand public, traduit dans le monde entier, et adapté au cinéma.

 

24 mars 2012

La vérité

 

 

Quand le mensonge prend l'ascenseur ,

la vérité prend l'escalier.

Elle met plus de temps mais ne t'inquiètes pas,

elle finit toujours par arriver....

23 mars 2012

les étoiles fixes

Les étoiles fixes sont très peu utilisées par les astrologues occidentaux et pourtant elles sont visibles dans le ciel depuis la nuit des temps. Très peu d’étoiles sont reconnues en pratique et principalement les quatre étoiles Royales Antarès, Fomalhaut, Aldébaran et Régulus. Les étoiles Fixes se déplacent de un degré tous les 72 ans X 360° qui correspond a la révolution d’une étoile sur le zodiaque de 25920 ans avant qu’une étoile revienne a sa position initiale. Donc si l’influence des étoiles fixes ont été reconnues leur champ d’influence seront très réduite, il faut compter un degré d’orbe maximum. Si vous avez le Soleil ou la Lune sur le même degré qu’une étoile fixe suivant la nature de cette étoile vous pourrez considérer que votre destinée révèlera un attrait particulier. On peut évidemment repérer la position de Mercure, Vénus, Mars , Jupiter et Saturne qui dépendra de la nature de la planète mais aussi de l’étoile fixe sur ce même degré. Avec Uranus, Neptune et pluton l’influence sera plus orientée vers un mouvement collectif et dépendra de la grandeur de l’étoile qui témoignera de son importance
Sur le site astrodienst après enregistrement gratuit vous pouvez faire une première expérience avec les étoiles fixes, il existe deux modèles de carte pour positionner les principales étoiles fixes sur votre carte du ciel. On eut aussi évalué l’influence des étoiles fixes sur le plan mondial et rechercher les liens existants avec des événements lorsqu’un astre se trouve sur le même degré qu’une étoile surtout lorsque celle-ci est réputé dangereuse comme Algol qui n’a pas une bonne réputation se trouvant à 26°18 dans le signe du Taureau sauf si Jupiter s’y trouve sur ce degré que la force négative peut-être détournée

22 mars 2012

Paris

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